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Read on line, follow the updates of my historic novel The Boutique Robillard, fandom of Gone with the Wind (in English, click on top)

 

 

 

Lisez en ligne mon roman historique, dans l'Amérique de 1876 : La Boutique Robillard, ma suite d'Autant en Emporte le Vent (en français)

Publié par Arlette Dambron

27 mars 1875, 22 heures, Atlanta, Peachtree Street

 

Prissy l’aida à retirer sa belle robe et son corset.

Maintenant, Scarlett pouvait enfin se relaxer dans son lit.

Elle se mit à ressasser les derniers événements de la soirée.

Ashley avait été extatique sur le jeu des acteurs et la mise en scène de Romeo et Juliette

Romeo and Juliet, from William Shakespeare: this poster actually represents a movie from MGM studios, made in 1936, whose actor playing Romeo is.... Leslie Howard..... THE Ashey Wilkes of Gone with the Wind!

Romeo and Juliet, from William Shakespeare: this poster actually represents a movie from MGM studios, made in 1936, whose actor playing Romeo is.... Leslie Howard..... THE Ashey Wilkes of Gone with the Wind!

 Elle se montra plus réservée. Elle devait s’avouer qu’elle était très peu sensible à cette histoire. Deux adolescents qui s’aimaient, supportant l’ire de leurs familles jusqu’à la mort. C’était trop romanesque pour elle !

Vraiment, j’en ai soupé du romantisme !

La meilleure preuve en fut lorsque Ashley renouvela sa demande en mariage en fin de soirée. En creusant ses fossettes de façon à adoucir sa réponse, Scarlett refusa gentiment, mais clairement, sa proposition.

Tristement, Ashley avait baissé la tête en signe de défaite. Mais, elle en était certaine, il reviendrait à la charge car, au bout de temps d’années, il s’autorisait enfin à convoiter l’ancienne belle du County de Clayton.

Il doit être persuadé qu’un jour ou l’autre il arrivera à me convaincre. Pauvre Ashley ! Oh ! Ashley ! Mon beau chevalier à l’armure flamboyante ! Je suis enfin arrivée à réaliser mon rêve de petite fille : votre demande officielle de devenir Madame Scarlett Wilkes. Quelle ironie de s’apercevoir que cela ne m’intéresse plus du tout ! 

Confortablement calée sous les draps dans son lit trop grand pour elle seule, Scarlett soupira : Ah ! Ashley !  C’est trop tard, Ashley ! Je n’en ai plus envie. Et pourtant, je vous ai aimé. Du plus profond de mon cœur, je peux jurer que je vous ai aimé ! Peu importe ce que j’ai dit à Rhett le soir où Melly est morte.

Scarlett O'Hara, in love with Ashley Wilkes

Scarlett O'Hara, in love with Ashley Wilkes

Mais, à l’instar de l’amour de Rhett pour elle qui s’était usé jusqu’à se tarir, sa passion folle pour Ashley s’était transformée depuis longtemps en une chaude tendresse.

Je reconnais que ses yeux doux posés sur moi, ne cachant même plus son ardeur, me font du bien. Quel meilleur moyen pour reprendre confiance en soi que de se sentir désirée amoureusement !

Car reprendre confiance en elle, Scarlett en avait besoin. Rhett l’avait tellement laminée à son départ. Sa cruauté l’avait ravagée. Il l’avait abaissée, s’était moqué de sa faiblesse, de sa détérioration physique. Alors, sentir le regard fiévreux d’Ashley admirant les courbes de son corps, c’était bien agréable. Mais ça ne suffisait pas.

Ce soir, encore, lorsqu’ils étaient assis au balcon du grand amphithéâtre, plus d’une fois, le bras d’Ashley avait frôlé le sien. Sa voix avait pris des intonations profondes et douces. Et puis il s’était enhardi à effleurer de ses lèvres l’intérieur de son poignet avec ferveur.

Scarlett n’avait pas réagi, ni par une rebuffade, ni par une invitation à continuer. Elle avait fait semblant que rien ne s’était passé. Mais elle avait secrètement apprécié l’attention. Cela faisait si longtemps qu’un homme n’avait plus touché sa peau !

Mais, il faut bien le reconnaître, je n’ai pas ressenti de papillons dans le ventre, comme avec Rhett,  ajouta-t-elle avec dépit.

Rhett ! Le seul homme qui avait réussi à réveiller son corps. Et encore… pas réellement pendant leurs années de mariage ! C’est vrai, depuis Rough and Ready, ses baisers l’avaient toujours transportée vers des rivages inconnus. Puis, jusqu’à la naissance de Bonnie, leurs rapports sexuels avaient été agréables. C’était un tel changement avec le devoir marital qu’elle avait dû subir avec ses deux précédents maris.

Oui, Rhett avait éveillé son corps. La fameuse nuit de 1871. Comme elle avait été effrayée quand il l’avait portée avec fureur en haut des escaliers – vers les limbes obscurs. Elle avait senti le corps de Rhett trembler.

Rhett Butler "capturant" Scarlett O'Hara pour l'entraîner dans les limbes.

Rhett Butler "capturant" Scarlett O'Hara pour l'entraîner dans les limbes.

Elle avait eu peur cette nuit-là, et presque craint pour sa vie lorsque cet homme saoul l’avait jetée sur son lit sans aucun ménagement et s’était collé à elle pour lui déchirer sa chemise de nuit de ses mains puissantes. 

Il la libéra de son emprise quelques instants, le temps qu’il se déshabille nerveusement pour se retrouver entièrement nu. Alors il s’affala sur elle. Son haleine avinée envahissait le fond de sa gorge. Elle protesta. En vain. De toute façon, il était tellement ivre qu’il n’aurait pas été capable de l’entendre.

Son poids l’écrasait.

Son comportement était tellement différent de celui auquel il l’avait habitué ! Il avait toujours été un amant prévenant avec elle, prenant toujours soin d’alléger la pression de son poids sur elle. Il l’avait toujours traitée si délicatement au lit, comme s’il avait peur de lui faire mal, comme si elle allait se briser et s’évaporer.

Mais « cette » nuit-là, il ne fit pas attention à de telles considérations. Incapable de bouger, elle étouffait sous cette masse de muscles. Pour la première fois, elle était terrorisée par cet animal féroce qui avait pris la place de son mari.

Sa joue mal rasée lui écorchait la peau. Pendant qu’il la tenait fermement sous elle, il gémissait. Il murmura des brides de phrases dénuées de sens. Du moins, à cet instant, elle conclut qu’elles étaient dénuées de sens. Lorsqu’au petit matin serait l’heure de repenser à ce qu’il lui avait susurrée il serait temps de se demander s’il s’agissait réellement de déclarations d’amour.

Mais, pour l’heure, Rhett immobilisait fermement ses bras le long de son corps pour ne pas qu’elle bouge.

Et puis il entreprit la petite torture de parcourir avec ses lèvres brûlantes son corps dénudé. Il l’embrassa, et lécha chaque centimètre de sa peau.

Lorsqu’elle sentit sa bouche mordiller le bout de son sein, elle s’offusqua et supplia : »Non, Rhett, s’il vous plait ! »

Il répondit violemment : « Tu es à moi, Scarlett ! Cette nuit, il n’y aura pas d’échappatoire. Que toi et moi. Tu es à moi !»

Sa bouche reprit son voyage. La peau de Scarlett fut parcourue de frissons. Rhett continuait sa descente inexorable vers son but.

«Oh ! » Elle ne put s’empêcher de s’exclamer lorsque la langue de Rhett lécha goulûment la naissance de son bas-ventre.

A ce moment précis, tout bascula. Son bassin se contracta de désir. Une sensation inconnue irradiait chaque pore de sa peau, jusqu’à faire contracter ses orteils. C’est ça, le plaisir ? Naïvement, Scarlett pensa furtivement à un cadeau de Noël dont elle venait de découvrir la surprise.

Alors, elle libéra ses mains de l’emprise de Rhett, et caressa les cheveux de jais qui frôlaient son entre-jambe. Il gémit sous cette caresse. « Oh ! Scarlett, je t’aime, ma douce ! »

Elle ne voulait surtout pas qu’il bouge. Elle immobilisa sa tête pour que les lèvres charnues de Rhett continuent à la caresser là où aucun homme ne l’avait fait – même son mari, trop inhibé par la femme aimée pour oser une rebuffade de la cruelle Scarlett si jamais il avait osé.

En balbutiant des mots incompréhensibles, Rhett s’aventura plus bas, jusqu’à embrasser sa toison brune.

« Encore ! Encore Rhett ! » cria-t-elle.

Leurs corps tremblèrent à l’unisson. Lui ne pouvait plus déceler si c’était son propre corps qui était agité de secousses frénétiques, ou si c’était le corps de sa femme qui lui répondait passionnément.

Pendant qu’il forçait sa langue dans son intimité, une sensation inconnue la submergea, telle un torrent de plaisir qui emporta tout avec lui.

Ce fut au tour de Scarlett d’initier les caresses, et de soliloquer des mots inintelligibles avec passion.

 « Rhett ! S’il vous plait ! J’ai envie, j’ai envie ! » De quoi avait-elle envie ? Elle ne le savait même pas, sauf qu’elle allait mourir de désir.

Alors, l’amant expérimenté entendit enfin son appel. Il releva la tête, la regarda, émerveillé par son visage transfiguré par le désir, et remonta prestement à sa hauteur. Il l’embrassa passionnément.

Pendant que leurs langues s’entrelaçaient, elle sentait la pression de l’érection de son amant qui durcissait encore plus à l’entrée de son sexe. Et puis enfin, brutalement, avec rage, avec la violence de sa passion, il la pénétra.

Rhett s’empara totalement de son corps. Il voulait l’avaler, afin que leurs peaux se consument pour ne former qu’une entité indivisible.

Sa femme cria de satisfaction d’être enfin pleine de lui. Avec frénésie, Rhett commença son va et vient jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus, jusqu’à ce qu’il soit au bout de sa retenue, que tous les deux explosent de plaisir.

Scarlett eut l’hallucination que tout devenait blanc autour d’elle, qu’un kaléidoscope lui faisait visionner une myriade de diamants étincelants.

Lorsqu’elle eut le sentiment qu’elle allait être aspirée dans les abysses, un jaillissement de plaisir la submergea. Elle gémit « Rhett, je t’aime ! Je t’aime !» Comme une litanie, elle ne pouvait plus s’arrêter.

En entendant la femme qu’il adorait depuis si longtemps prononcer ces mots magiques, à cet instant précis, Rhett rugit avec une puissance semblable à la douleur : « Scarlett !!!»  et l’inonda de sa semence.

Ils restèrent ainsi sans bouger quelques temps. Elle était enfin comblée de le sentir dans elle. Le corps de son mari était encore agité de tremblements. « Ne surtout pas bouger ! » espéra-t-il. « Rester dans toi pour l’éternité ! »

Lentement, elle revint sur terre. Sa respiration reprit doucement son rythme normal.

Enfin, il se retira d’elle. Elle sentit un vide, un manque. « Rhett !» se plaignit-elle.

Aussitôt, il la serra fougueusement dans ses bras, parcouru son visage de baisers, pour finalement enfouir son nez dans les cheveux de Scarlett.

Méthodiquement, il recouvrit sa tête des longues mèches soyeuses de la jeune femme, jusqu’à ce que sa noire chevelure se transformât en un linceul qui allait l’isoler, l’emprisonner, pour toujours.

Il sélectionna la plus longue mèche et l’entoura autour de son cou, s’enivrant de son parfum entêtant – une drogue dont il était dépendant depuis si longtemps, et qui lui avait tant manquée !  Une drogue dont il avait rêvé pouvoir s’intoxiquer encore une fois.

Il aurait voulu rester caché à l’abri sous ce casque des ténèbres toute sa vie.  « C’est là, ma maison ! »

Scarlett s’émut incommensurablement par ses gestes tendres, cette façon qu’avait l’imperturbable Rhett de se cacher sous ses cheveux, comme un enfant se cache sous les jupes de sa mère. 

Ce n’était certes pas la première fois que son mari se perdait dans les caresses de sa chevelure. Lui qui, chaque soir depuis le premier jour de leur mariage jusqu’à la naissance de Bonnie, avait pris le soin consciencieusement de la libérer du chignon qui la contraignait dans la journée. Il enlevait une après l’autre les épingles à cheveux pour les déposer systématiquement dans une coupelle en cristal. Puis il démêlait ses mèches jusqu’à les brosser cent fois, comme sa femme s’y était maniaquement astreinte depuis des années. Lorsqu’il avait la satisfaction d’entendre crépiter les épis de cheveux, il y déposait mille baisers.

Dans le lit, après l’amour, il célébrer un rite de ne s’endormir qu’après avoir enroulé son cou avec sa plus longue tresse, jusqu’à s’en étrangler.

Le soir de cette nuit de folle passion, Scarlett retrouva ce geste familier.

Lors de leur nuit de noces, la première fois qu’il s’était emparé d’une de ses boucles pour l’entourer autour de son propre cou, elle s’en était amusée. Elle avait trouvé que cela ressemblait à du fétichisme. Le frivole Rhett, fétichiste ! Très vite, elle s’y était habituée.

Elle sentait vaguement que c’était un geste de tendresse après l’amour, un moment privilégié de sérénité où l’heure n’était plus aux disputes ou aux sarcasmes, mais à la communion et à la douceur.  Elle commença à apprécier cet intermède unique, aussi intime pour elle que la pénétration.

 C’est pourquoi, lorsque Scarlett décida de chasser Rhett de son lit, elle regretta presque immédiatement de ne plus pouvoir vivre ce moment magique particulier.

oooo

Vivien Leigh, l'interprète de Scarlett O'Hara dans «Autant en emporte le vent». (Interfoto USA/Sipa)

Vivien Leigh, l'interprète de Scarlett O'Hara dans «Autant en emporte le vent». (Interfoto USA/Sipa)

Toute seule dans son lit, ce 27 mars, Scarlett continua d’évoquer avec nostalgie la nuit d’amour de 1871 qui avait suivie l’anniversaire d’Ashley.

Rhett lui apprit tant de choses jusqu’au petit matin ! Il lui fit découvrir son propre corps, guida sa main sous la sienne pour qu’elle vagabonde et frémisse sous son toucher.

C’était totalement incongru à constater que, après trois mariages et trois enfants, Scarlett n’avait jamais cherché jusqu’à lors à se prodiguer elle-même du plaisir. Elle en était redevable à Ellen. L’éducation stricte et castratrice inculquée par la mère à ses trois jeunes adolescentes avait une finalité, celle de leur apprendre à concevoir leur corps que pour une fonction reproductrice et pour le plaisir exclusif de leur mari. 

Lors de la « fameuse nuit, Rhett l’amoureux fut ému que sa femme soit encore si innocente. Il regretta d’autant plus de ne pas avoir eu l’audace de lui enseigner ces plaisirs-là dès leur nuit de noces.

Puis, timidement, il lui demanda si elle voulait bien le toucher. Il ne s’agissait surtout pas de la forcer. Et, au moindre froncement d’un sourcil, il aurait fait machine arrière.

Au début, elle fut craintive d’effleurer cette partie secrète de l’homme, et puis, elle s’enhardit. A La moindre des caresses qu’elle lui prodiguait, Rhett gémissait son nom.

oooo

Ce soir de 1875, à l’évocation de cette ancienne nuit d’ivresse, Scarlett fit voyager sa main vers son intimité. Et elle jouit.

Le corps maintenant apaisé, son intellect reprit le dessus, et elle eut honte de sa faiblesse. Son corps l’avait trahie.

« Comment ? Après l’humiliation que vous m’avez fait subir, vos sarcasmes, votre abandon, je continuerais à vous faire figurer dans mes fantasmes ? »

Elle se révolta : « Ah ! Ça non ! Au diable le Capitaine Butler ! Je n’ai plus besoin de vous ! » s’exaspéra-t-elle à haute voix pour mieux s’en convaincre.  « Le plaisir que j’ai découvert, cette nuit-là, je sais que je pourrai le revivre avec quelqu’un d’autre. Je suis prête maintenant à accueillir d’autres bras ! »

ooooOOoooo

Auteur: Arlette Dambron

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Commentaires des lecteurs sur mon roman "The Boutique Robillard" sur fanfiction.net et archiveonourown.org - Chapitre 12 : 

 Tru. chapitre 12 . 27 avril 2021 : Bien sûr, les fantasmes de Scarlett tournent autour de Rhett, car c'est lui qui l'a initiée aux ébats amoureux fougueux.
Ses fantasmes enfantins pour Ashley Wilkes (si elle en a jamais eus) seraient désastreux comparés à ceux de Rhett.
Avec un peu de chance, elle trouvera un homme qui la ravit et la satisfasse, et avec qui elle pourra faire de même.

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 Win. chapitre 12 . 26 avril 2021 : Une écriture merveilleuse. Je suis si heureux de vous avoir trouvé. J'ai hâte de lire le prochain chapitre.

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 Fais… chapter 12 .25 avril 2021 : Le passage sur Ashley m'a beaucoup fait rire. Le pauvre a raté un épisode!
Très bon chapitre, avec ce moment de sensualité entre passion violente et tendresse qui était très inspiré. Par contre, je me demande, au vu de la manière dont il se soucie de Scarlett pendant l'acte, les paroles et actes sans équivoque de sa femme, ainsi que ce moment après la première fois, comment il a pu quitter son lit de la manière dont il l'a fait dans le livre... Son comportement laisse à penser qu'il est suffisamment conscient pour ne pas subir d'amnésie (partielle ou non) par la suite... Ah, Rhett, tout aurait été effectivement plus simple s'il était resté tranquille!
En tout cas, rien que le souvenir de cette nuit reste ancré en Scarlett. J'ai quelques doutes qu'elle trouve ce qu'elle recherche de la manière dont elle l'envisage, par contre :D

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 tain. chapitre 12 . 25 avril : Oh Scarlett, je l'adore ! Très bien écrit mais je suis toujours très impatiente que notre couple se rencontre !

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 Guest chapitre 12 . 25 avril 2021 : Super mise à jour, je pense savoir ce qui va se passer dans le prochain chapitre. J'aime cette histoire et votre écriture. Tant de subtilités et de nuances. Vous avez très bien écrit "cette nuit-là", même si je pense qu'ils auraient tous deux du mal à marcher le lendemain et qu'ils seraient tous deux parsemés d'entailles et d'ecchymoses.

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Aet. chapitre 12 . 25 avril : Pauvre Ashley. Se marier avec son amour d'enfance est méprisé aujourd'hui, mais quand on est enfant, on n'est pas aussi sophistiqué et on ne peut s'empêcher de montrer tout son cœur. C'est en vieillissant que l'on apprend à cacher davantage ses sentiments pour ne pas prendre autant de risques. En amour, cependant, il faut être "à fond", pour reprendre une expression. Lorsque cela fonctionne, il n'y a rien de plus doux qu'un amour qui a commencé dans la jeunesse.
 

Chapitre 1 de La Boutique Robillard : Le Divorce

Que fait Rhett Butler après avoir quitté Scarlett O'Hara et Atlanta ?
Chapitre 1 de La Boutique Robillard : Le Divorce

 

Découvrez le chapitre 1 du roman The Boutique Robillard : 

La suite d'Autant en Emporte le Vent, ma fan fiction The Boutique Robillard

 

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